Journée bien remplis encore aujourd'hui, premièrement visite d'un nouveau petit village. Parcelamiento Nacimiento "RIO CAOBA", les deux derniers mots feront l'affaire pour nommer ce village. Ce village est dans le grand besoin, aucun des élèves n'avaient se sac d'école, mais tous avaient le gros sourire.
Ensuite retour à Poite Centro, pour faire face à un autre problème, le vent nous empêche d'installer la tôle. Ce n'est qu'à 11h30 que nous avons débuté, avec beaucoup de précautions l'installation. pour cette raison, nous n'avons pu faire que la moitié.
Un bizarre de ciel sur la route de Rio Caoba.
Deux écoles de bois avec toiture de feuilles de palmier sont assez récentes, mais comme vous le constaterai, pas très adéquate pour les jours de mauvais temps.
Les toilettes avec à l'arrière plant, de beaux paysages...
Ici aussi on entasse les élèves dans de pupitres de fortune...
Deux des trois Professeurs
Ici, au Guatemala, on met plus d'argent sur les églises que sur les écoles, comme dans notre beau pays, il y a une soixantaine d'année...
Distribution des "muchilas"
Le petit groupe de pré-primaire.
Le groupe de 1, 2 et 3 ème année...
Le groupe de 4, 5 et 6
Tous le groupe avec les cadeaux, sacs d'école et ballons de soccer.
On discute "bizness" ils auraient besoin d'une école de 3 classes, direction et toilettes. Ils sont maintenant sur la liste, mais faudra être patient...
De beaux sourires à mon départ...
En attendant que le vent se calme, Mario, le soudeur, cherche le problème de notre génératrice.
Nous avons eu l'aide des élèves du primaire pour le transport de l'eau car le boyau n'avait que des goutes...
Après 5 semaines, je me suis dit, une journée de plus ou de moins, ça ne changera rien... Attendons, mais le problème, payons les copains sans travail.
11h30, on s'essaie...
On y va au rythme le plus sécuritaire, même si ici, la sécurité est "secondaire".
Mario et Ronald, les deux soudeurs installe la tôle...
La partie arrière devrait être terminé en fin de journée, demain après une journée de plus au programme, nous devrions en finir avec la "saga" du toit...
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